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  • Trop

    Exprime l'intensité. En cela, synonyme de comment. Trop et comment peuvent éventuellement cohabiter dans la même phrase, pour exprimer une intensité très élevée. " Trop la honte, ce zonblou. " (Ce blouson est ridicule, et ce dans des proportions considérables.) " Trop comment je suis foncedé ! " (J'ai fumé une quantité déraisonnable de cannabis. Je crains que mon acuité intellectuelle en pâtisse pour la paire d'heures à venir.)
    Opposé : trop pas.
  • Truc de ouf

    Désigne une chose peu commune, qui dépasse l’entendement.  » ‘tain, mais c’est trop un truc de ouf !  » (Mon dieu, mon entendement est tout dépassé !)

  • Tèj

    Jeter, refuser, réfuter, envoyer promener.  » T’aurais vu comment Jamel il a tèj la prof d’anglais.  » (Le facétieux Jamel ne s’est pas laissé démonter face aux réprimandes de la professeur d’anglais !)

  • Sérieux

    Indique que le propos est grave, solennel, et qu’il faut donc lui accorder le plus grand crédit.  » Sérieux, j’kiffe trop son cul à votre fille.  » (Monsieur, j’ai l’honneur de vous demander la main de votre fille.)

  • Relou

    Exprime une surcharge pondérale

    Nan j’déconne.

    Exprime l’ignorance totale du mouvement #metoo lors de l’approche subtile du sexe opposé (ou pas) dans une démarche évidente de conclure par une copulation rapide : Oh zyva, t’es trop relou toi! (Ne sois pas si exacerbant!)

  • Race (sa)

    Exprime le mécontentement.  » Sa race !  » (Je suis d’humeur maussade.)  » Sa race, c’bouffon !  » (Mon anneau pylorique est complètement fermé. C’est le résultat de la proximité de cet individu.)

  • Mito

    Mensonge. Dérivé de mythomane (menteur).  » On me fait pas des mitos à moi, bouffon !  » (Je ne suis pas le genre de crédule à qui vous ferez gober vos sornettes, individu qui n’appartient pas à notre milieu !)

  • Mortel

    Bien, beau, dont on peut se réjouir (invariable).  » Elles sont trop mortel tes Nike.  » (Vos chausses s’entendraient fort bien avec mes pieds, aussi vous demanderai-je de m’en faire l’offrande sans opposer de résistance.)

  • Kiffer

    Apprécier.  » Comment je kiffe trop son cul.  » (Le sien postérieur n’est pas sans éveiller chez mois des pulsions bien naturelles, qui me mettent dans une humeur joviale, pour ne pas oser dire gauloise.)

  • Gun

    Arme à feu.  » Ziva prête moi ton gun, l’aut’batârd il m’a manqué de respect.  » (Pourrais-tu s’il te plaît me prêter ton arme à feu, afin que je règle son compte à l’importun qui n’a été qu’à moitié urbain à mon égard.)

  • Foncedé

    Se dit d’une personne qui vient de consommer du cannabis (ou éventuellement une grande quantité d’alcool). « Je suis foncedé.  » (Mon regard est vitreux, je perds mes mots, un mince filet de bave s’écoule sur mon menton et je rigole comme un décérébré, sans aucune raison. J’ai payé assez cher pour me mettre dans cet état. Bref: je viens de consommer du cannabis.)

  • Comment

    Exprime l’intensité.  » Comment je lui ai niqué sa race à ce bouffon !  » (Je sors indéniablement vainqueur du combat qui m’a opposé à cet individu qui ne s’apparente pas à notre style de vie, ceci dit en toute modestie, s’entend, et avec la sportivité qui s’impose en de pareilles circonstances.)

  • Chelou

    Bizarre, inhabituel. Par extension, qui ne s’apparente pas au clan.  » La prof d’anglais elle a des veuch tout chelous.  » (Ce n’est pas tous les jours que l’on voit une coupe de cheveux aussi inhabituelle et cocasse que celle de la professeur d’anglais, qui par extension ne s’apparente pas à notre milieu.)

  • Carotte

    Du verbe carotter (extorquer, voler), mais dans une forme invariable.  » Il m’a carotte un zedou d’teuchi, l’bâtard, tu vas voir comment j’vais le niquer grave.  » (Le scélérat m’a dérobé douze grammes de cannabis, il va s’en mordre les doigts.)

  • Bouffon

    Qui ne s’apparente pas au clan.  » Nique lui sa race à ce bouffon !  » (Rabat lui son caquet à cet individu qui ne s’apparente pas à notre milieu !)

  • Se masturber

    Cirer le pingouin : se faire tirliponpon sur le chihuahua le premier samedi du mois [from Taniou ]

    Amener Popol au cirque : cf. Cirer le pingouin [from Taniou2] 

    Faire mousser le créateur : Se taper une masturbation solitaire avant d’aller voir sa promise. [from Firmin les p’tites mains] (claaaaasse !)

    cinq colonnes à la une [from patroche] (sans autre explication…va savoir, tu sais, les jeunes d’aujourd’hui…)

    Taper un racis : se branler, taper un racis [from jojo]

  • A la toque

    de l’expression «à toc», qui veut dire plein, parce que quand le réservoir était plein, la jauge faisait «toc» sur le haut du réservoir. Aaahh, ça vous la coupe, hein ? Un peu de culture, ça fait pas de mal. Moi je l’utilise quand je veut dire à donf d’une autre manière.

  • Au taquet

    ça les gars, les voileux peuvent le comprendre de suite. Quand sur un cata ou un 470 t’es réglé tip-top et que t’as les écoutes aux taquets (je veux dire par là que les bout de ficelle qui servent à régler les voiles sont coincées dans des taquets coinceurs), eh ben tu bourres comme un salaud et c’est bon.

  • A la tu flippes

    ça c’est une expression de mon pote Fred à qui je doit le respect because il me dose grave en VTT, qui veut dire «très très cher».
    Exemple, il a fait le tour du monde en VTT, et un jour il a été invité à bouffer chez quelqu’un qui avait un peu beaucoup des sous, et donc à table y’avait des couverts «à la tu flippes» (donc en argent).

  • Ach Zooo !

    expression Allemande pour tout dire. De «ah bon d’accord» à «ah ouais ?» en passant par «passe moi le sel qui est derrière la moutarde s’il te plait Alphonse», c’est très répandu dans ce charmant pays ou on pratique régulièrement la «Kolossale rikolateuh»

  • Arrrrh, va paaas !

    expression très employée par Alain de Greef pour signaler qu’il y a un problème.

  • Aaaaah oui mais là, je crois que ça va pas être possible

    pour avoir la prononciation exacte, achetez l’album «essence ordinaire» de Zebda. Ca veut dire que ça nous arrange pas, en plus long.

  • Big Porc

    à l’origine expression sympathique pour désigner ses meilleurs amis qui font partie de la crème des lâcheurs de caisse de l’hémisphère Nord. Après un voyage en bateau, ça désigne aussi les gros enculés qui ne respectent rien et qui jettent leurs canettes de bière par dessus bord (pour comprendre cette dernière définition, allez voir mon site de grand voyageur).A utiliser avec prudence, donc.

  • Blaster

    un truc qui blaste à donf, c’est un truc qui envoie le bois bien grave.

  • Bois

    matériau qu’on envoie (cf. envoyer le bois). Le mot bois est dans un nombre impressionnant d’expression Françaises, ce qui me donne l’occasion de lancer un grand jeu-concours pour tester votre intelligence expressionnelle. PARTICIPEZ !!

  • Brafougne

    grosse baston de Mistral.

  • Baston

    quand le vent est top fort, que les vagues sont overmast, on peut dire que ça bastonne à donf.

  • Blague

    à hurler avant de se faire péter la gueule pour exprimer le fait que ce qu’on vient de dire, c’était rien que pour de rire. Exemple : «putain t’es bonne toi, je te pèterais bien la rondelle… BLAGUE !» sachant très bien qu’on le pense vraiment, en fait..

  • Bourrer

    superbe verbe utilisé autrefois pour les pipes (bourrer sa pipe). Maintenant que les moeurs ont un poil évolué, notamment grâce à Tabatha Cash, on utilise ce verbe dans tout un tas d’autres expressions subtiles zé délicates, comme «bourrer sa copine», «je vais te bourrer ta sale gueule» ou «se bourrer la gueule» (et les expressions dérivées «être bourré comme un âne, comme un coing, comme un ours, etc..»). On l’utilise aussi en planche pour dire qu’on va très vite (bourrer comme un malade). Quand au mot pipe, il est passé dans l’expression «tailler une pipe» ou «faire une pipe», qui semble être beaucoup moins compliqué que bourrer une pipe, puisque les blondes y arrivent très bien.

  • Cong

    expression Marseillaise bien connue, la plupart du temps précédé d’un «Woh, fatche de» ou «Woh putaing» ou tout simplement «Woh», mais dans ce cas, à Toulouse on exagère sur le dernier mot, ce qui donne «Woh coooooon !». En fait, ça veut tout simplement dire «Woh, putaing» (humour, donc…)

  • Capter

    comprendre. Exemple : «les femmes, j’y capte que dalle», ou «je capte autant en mécanique qu’en femmes», pour mon pote Pig. Ne pas confondre avec l’expression des temps modernes «oui mais là j’ai qu’une barre, je capte pas, ça va couper», utilisée par les portablophiles.

  • Chibre d’âne

    énorme bite. Le chibre, c’est la bite en Marseillais.

  • Ça craint la bête

    «c’est pas cool ton truc» version ma sœur (qui est à poil sur la pochette de mon album)

  • Caribou

    expression du Québec pour dire tout et n’importe quoi. En Français, ça s’appelle une interjection, je crois. «Caribou, c’qu’il parle bien le Manu !»

  • Ça m’arrange pas, là

    c’est juste un moyen de dire qu’on est pas trop d’accord avec quelque chose. Exemple : vous avez votre petite nièce ou votre petit neveu sur les genoux : «Aaaaah, oui mais là si tu me chies dessus, ça va pas m’arranger». Autre exemple, votre patron vous demande de venir bosser Samedi : «ben oui mais en fait ça m’arrange pas, là..»

  • Crocodile proof

    ça vient de la vieille pub Décathlon pour ses sacs à dos. Quand un truc est crocodile proof, c’est que c’est du costaud.

  • Ce n’est pas sale

    en général suivi de «on peut en parler, donc». c’est une phrase pompée au Doc de chez une radio de jeune qui sévissait dans une émission ou les jeunes parlaient de leur problèmes sexuels. Et le Doc, imperturbable, pouvait sortir des phrases du style «oui, donc tu as des pustules sur la verge et ton amie refuse de te faire des fellation, c’est ton corps qui change, ce n’est pas sale, on peut en parrrrler, donc.» Il est fort, ce Doc.

  • Deehhaaahh !

    cri débile poussé après une blague douteuse ou un jeu de mot limite. En général suivi de «t’as compris ?»

  • Dégun

    «personne» en Marseillais. Nous à Marseille, on craint dégun.

  • Dauber

    «putain ça daube ici», c’est quand ça pue. Voir aussi «ça shmoute», «ça sent le fennec» ou le poney, au choix. on peut rajouter «grave» à la fin, pour quand c’est moi qui lâche une bonne caisse.

  • Daissu

    orthographe modifiée du mot «déçu» pour qu’il soit prononcé comme il se doit. «p’tain chuis daisssu !» Peut s’utiliser dans les mêmes circonstances que «gâché».

  • Défracté

    état moléculaire assez piteux, après une bonne murge, un superbe cône ou une énorme session de planche de 8 heures. «p’tain, chuis défracté complet, man»

  • Doser

    doser un mec, c’est lui mettre une grosse rouste. Par exemple en planche, je dose tout le monde avec ma 6.5 et mon gun de slalom. Ca veut dire que je suis le plus rapide, en fait. Alors les mecs y disent «Comme y m’a dosé, lui !»

  • Enculé

    deuxième définition de Big Porc (version péjorative). Peut s’utiliser avec «de ta mère» à la fin, mais là, c’est vraiment pour les gros enculés.

  • Eincouléééé

    «enculé» avec l’accent Marseillais. Pour signaler un truc qui pète sa mère.

  • Enculadarastaflagadassé

    version longue de «enculééé», pour signaler un truc qui envoie le bois. Entraînez vous à le dire super vite, pour voir…

  • Encule un mouton

    expression mythique guignolesque, à utiliser quand on ne sait plus quoi dire pour se sortir d’une situation difficile. Exemple : «Michael call, heuu personaaaageuh, humour, décalaaaageuh, canal plus, heuuu encule un mouton…». Pour expliquer pourquoi on rentre à la maison complètement bourré à 3 plombes du mat et qu’on se sent obligé de gerber dans le lit: «Pub Irlandaiiiis, heuuu, boucoup guiness, heuuuu, trop trop forts ces gars lààà, heuuu, oui mais non mais, heuuuu encule un mouton.» Et là, vous pouvez vous endormir sereinement, l’excuse sera passée nickel.

  • Envoyer le bois

    expression PHARE de ce site. Ca veut tout dire. Une fille qui envoie le bois, c’est qu’elle est top bonne, ou qu’elle passe les duck-jibes mieux que toi. Un truc qui envoie le bois, c’est qu’il est en général total classe. Oyé oyé mes amis, lâchez-vous et utilisez cette expression à tours de bras pour porter la bonne parole à travers le monde. Je l’ai déjà fait passer sur l’hémisphère Sud, en espagnol ça donne «manda la madera, boludo !». l’expression vient du pays Basque où les gens envoyaient des gros troncs d’arbres pour prouver leur force. Le gars qui envoyait le bois le plus loin était le plus fort. d’ou l’expression. Un peu de culture, ça vous fait pas de mal. En parlant de culture, vous avez participé au concours ?

  • Eclater

    petit mot à placer un peu partout pour exprimer une défractation importante ou éventuellement pour signifier à un type qu’il dit n’importe quoi. Exemple : «Le Pen au 2eme tour ? non, mais là t’as complètement éclaté mon gars…»Mais en général, on l’utilise pour dire qu’on s’est trompé. « tain, j’ai tourné à droite au rond-point, j’ai éclaté grave sa mère»

  • Foune

    diminutif de foufoune. Synonyme de fouffe. Touffe aussi, on peut dire. Ce n’est pas sale.

  • Foufoune

    diminutif de foufounette

  • Foufounette

    c’est bien connu, les femmes ont deux paires de lèvres, une pour dire des conneries, et l’autre pour se faire pardonner. c’est la foufounette. Attention, peut exploser sans prévenir.

  • Farigoulette

    herbe de Provence et marque de custom du Sud (Farigoulette connexion)

  • Fait chier merde

    à dire quand on est pas content, pour le signaler aux autres, à la même manière que «faire foutre».

  • Fuck

    version anglaise de «fait chier merde». c’est plus court. c’est le sens pratique des Anglais.

  • Faire foutre

    ça c’est quand tout le monde vous gave, il faut balancer le bras vers le haut la tête baissée, style édika, et dire «ééééh puis merde» ou alors «ééééh, ‘faire foutre». Ca marche bien aussi avec «fait chier, merde»

  • Gras

    mot en général repoussé par les filles et de plus en plus utilisé de nos jours pour dire «beaucoup». Exemple: ouaah, y’a gras de monde ici! Ou encore: p’tain, y’a gras de neige, on va se gaver! A utiliser avec beaucoup de précautions avec les filles: Par exemple, dire «Ouaaah, t’es gras bonne, touaaah!» c’est pas bien. Nan, vraiment pas.

  • Gros Pig

    version française de Big Porc, pour alterner dans les phrases.

  • Gaver

    un truc qui gave, c’est un truc qui fait chier. Un truc qui gave le steak, c’est qu’il fait vraiment très chier. Un mec qui te gave, tu l’envoie chier. Et quand un truc chie, ça te gave. (notez bien la poésie omniprésente sur ces pages)

  • Gâcher

    autre forme pour dire qu’on est daisssu. Exemple, tu rentres en vrac à trois plombes du mat chez toi, il pleut et tu as perdu les clés de la maison. En plus ton portable est resté dans la voiture dont tu viens de claquer la porte avec les clés sur le contact, et t’as pas bien serré le frein à main et en bas de la pente c’est le commissariat. Eh ben là, t’es gâché.

  • Gérer

    ça c’est un mot vachement utilisé en ce moment, je sais pas pourquoi. «p’tain, j’ai pas bien géré la situasse là, Pig»

  • Gentil le chien

    c’est pour dire au type qui veut vous péter la gueule de se calmer, mais c’est marrant, en général ça l’énerve encore plus.

  • Heu…douze

    ça c’est un truc à dire quand on ne sait pas quoi répondre à une question (ou qu’on a pas envie du tout). Style «dis moi Manu, tu pourrais me dire la racine cubique de la double intégrale de ln de x sur x en poiseuille par mètre cube, steuplait ?» et là, sans hésitation, tu réponds «heuuu, douze».

  • Heuuu…bleu

    pareil que «heuuu, douze», mais en couleur…(hummm,humour, donc..)

  • Humour, donc

    ça c’est une manière délicate de chambre un type qui vient de raconter une blague trop naze. l’air très sérieux, tu sors «hmmmm, humour, donc…» et là le type, il va se cacher dans les chiottes pendant 2 heures.

  • Heuuuu, désolé

    tout le monde connaît ça, c’est Denisot qui le dit quand il raconte une blague trop naze. A dire en baissant la tête.

  • Il veut ma main dans la gueule, l’aut’ pignouf ?

    expression utilisée la plupart du temps par les filles, quand elles veulent signaler de manière délicate que vous les emmerdez bien grave avec votre drague à deux balles. s’utilise aussi avec «gros naze», «gland» ou tout autre terme agréable à entendre dans la bouche d’une fille (bien que «gland» est encore plus agréable à voir dans la b… bon d’accord). En fait, j’ai mis cette expression pass’keu j’en connais aucune autre qui commence par la lettre I. Aidez-moi, merde !

  • I think it’s cool, Beavis

    expression Amerloque tirée du fameux dessin animé intellectuel «Beavis and Butt-head». Normalement, quand on dit ça à quelqu’un de très cultivé, il doit répondre «you’re fuckin’ right, Butt head». c’est juste une expression qui sert à exprimer le fait qu’on est bien dans une situation donnée. Exemple, le Mistral à soufflé toute la journée et les vagues étaient belles zé grosses. Vous étiez seul avec votre pote Alphonse sur le spot. Maintenant il fait nuit, vous venez de vous enfiler une pizza au jambon-champignons-fromage-mozza et une bonne bière, et vous êtes vautré dans le canapé devant culture Pub. Pamela vous fait la pipe du siècle. Là, et seulement là, vous pouvez nonchalamment tourner la tête vers votre pote Alphonse (à qui Andréa est en train de faire un monumental strip-tease) et lui dire : «well, I think it’s just something like cool, Beavis»

  • j’ai la gouache

    «je suis à donf», ou «j’ai la patate à faire peur à la pile alcaline» (Zebda). Ca veut dire qu’on est en pleine forme (from FredBike)

  • j’ai les boules

    contraire de «j’ai la gouache». En gros, c’est la merde.

  • Je sais pas là, il est encore trop tôt

    à l’origine, c’est Michel Blanc qui dit ça dans «grosse fatigue» quand les flics lui demandent s’il s’appelle bien Michel Blanc à 6 plombes du mat’. On peut dire ça quand on est très fatigué et qu’on vous pose une question très compliquée, style «chéri, est-ce que tu m’aimes ?»

  • j’y connais autant en ………. qu’en gonzesses

    remplacez les petits points par ce que vous maîtrisez le moins dans la vie (les Maths, le vélo, la mécanique, l’info, la cuisine, etc…), et ça vous donne une expression rigolote pour dire que vous n’y comprenez rien en quelque chose (étant défini par défaut qu’on ne comprendra jamais rien aux filles. Cette expression est donc typiquement masculine)

  • Kapanga

    cri de guerre du groupe Argentin du même nom. Chanson phare de leur album «a 15 cm de la realidad», qui dure 17 secondes (la chanson, pas l’album). mais elle blaste à la toque.

  • Lopette

    tapette, pédale, pédé. j’ai rien contre, hein, du calme, mais par exemple, mon voyage en Argentine, c’était pas un truc de lopette. Je veux dire que c’était pas pour les tapettes, quoi. Enfin, c’est pas un truc de Pédé, c’est ça que je veux dire.

  • Le pied dans le phare

    avec ma deuche mauve, le mistral dans le dos, en descente et le pied dans le phare, je tape le 120 chrono sans problèmes. j’ai pompé cette expression à Renaud dans sa chanson sur le Paris Dakar. Maintenant, Renaud est supporter de foot alcoolique, tout fout le camp je vous dis. Pour revenir à l’expression, ça veut tout simplement dire à donf.

  • Maaaan !

    interjection très utilisée dans l’industrie du semi-conducteur, pour remplacer la virgule. Exemple: ouais maaan je sais maaan je vais le faire maaan. Attention, c’est vachement contagieux.

  • Mes couilles sur ton nez

    l’expression totale est en fait «et mes couilles sur ton nez, ça fait des lunettes ?», mais comme c’est long à dire on raccourci un peu. Ca veut dire va te faire mettre, en gros.

  • Mégamix virgule huit

    exprime l’intensité du propos. Exemple : vous êtes en studio d’enregistrement et vous écoutez la dernière prise du bassiste, lors de laquelle il a grave chié. Vous dites : «moi ça me choque, mais alors mégamix virgule huit», ce qui veut dire en gros : ta prise est naze, faut tout refaire.

  • Mais lâche-moi, merde !

    pour exprimer le fait qu’on aimerait bien être tranquille un moment. Expression tirée du mythique «les bronzés font du ski». Ceux qui peuvent me dire QUI le dit et QUAND gagne un an d’abonnement à GBG Mag (Grave Beaux Gosses Magazine)…Et le gagnant eeeeeest ! : ANTONY !! Voici sa fulgurante réponse : Les Bronzés font du ski, scéne fondue Savoyarde ou Maurice fait un truc impayable, il met du fil. J.balasko lance « je te remerci bernard c’est vraiment une blague de crétin …» G.jugnot répond aprés s’être défendu une 1ére fois «Mais lâche moi merde «. Cordialement, Anthony «La bertiliste c’est bien «. Il me semble aussi que quand ils sont en galère et que Jugnot est suspendu à la corde et qu’il garde sa gourmette, il dit aussi «mais lache moi, merde». Va faloir que je le re-regarde…

  • Mets l’braike à bras d’ton char

    «fout le frein à main de ta bagnole» en Québécois. Il sont fous ces gens.

  • Merci beau cul

    prononcée assez vite, cette expression apporte la jouissance de pouvoir dire à une fille qu’elle a un cul superbe en public. Et en plus, on peut le dire à des gens qu’on connaît pas, et tout.

  • Misère

    je me demande pourquoi c’est pas la première expression que j’ai mis sur ces pages, vu que je le dis 12 fois par jour. Alors on peut le dire souvent, du style, «ouffff, misère ! « quand on croise une Sbab (ajouter «quelle belle saison» si on est en été), ou alors «ah oui mais là, c’est un peu la misère ton truc, ça m’arrange pas», ou encore «misère, comme je suis défracté, là…», bref, on le mets dans toutes ses phrases et on constate que c’est très contagieux.

  • Même pas mal

    pour exprimer fièrement son insensibilité à la douleur.

    Exemple: vous venez de vous prendre la rèche du siècle en Snowboard (lancé pleine bourre dans les sapins, faute de carre, un sapin dans la gueule, un autre dans le dos, vous vous faites éjecter de la foret style boule de flipper). Vous vous relevez devant les potes cassés de rire, et pour couper court à toute remarque blessante, vous criez «même pas mal !», suivi de «le dernier en bas est un gros pédé», avant de vous élancer comme une bombe vers un bon vin chaud.

    Pensez à passer à l’hopital ensuite.

  • Même pas peur

    expression à hurler juste avant de s’élancer pleine bourre dans les sapins en snowboard. Si vous n’êtes pas sûr de votre coup ou de votre niveau en snow, aprenez l’expression précedente, on ne sait jamais…

    Mise en situation graphique de l’expression :

  • Nique ta mère

    ce n’est pas sale, on peut en parler, c’est ton corps qui change…

  • Nibe

    terme marseillais pour dire «rien». Ne pas confondre avec nibard.

  • Nibards

    putain qué gros seins. Enormes mamelles. Bref, j’adore.

  • Niffler

    synonyme de «gaver», mais ne s’emploie pas avec «le steak». Ex.: «il va nous niffler longtemps, lui ?» ou bien «oouuuuuh, ça m’a nifflé ce truc !»

  • Ohhh putain qu’elle est bonne, elle !

    à hurler devant des millions de gens en parlant de sa nouvelle chef de bureau. Idéal pour se faire virer quand on veut partir en voyage.

  • On s’en bat les couilles

    en clair, on s’en fout grave. y’a aussi «je m’en bat les couilles avec une pelle à tarte en argent»( © Guillaume Chardonneau), qui non seulement fait plus mal, mais en plus est plus long à prononcer, sans compter le prix exorbitant d’une pelle à tarte en argent. Cela dit, ça veut dire qu’on s’en fout vraiment grave.

  • Péter

    y’a trop d’expressions avec ce mot, ça mérite plusieurs lignes…Mais sinon, péter tout court, c’est en rapport direct avec une perforation d’anus, ça fait parfois pas mal de bruit, et souvent ça daube grave (voir «avoir une flatulence»)

  • Péter sa mère

    un truc qui pète sa mère, c’est un truc qui envoie le bois over à donf. «ça pète sa mère, ce truc»

  • Péter la rondelle

    heuuu, là c’est pas pareil, c’est un truc du sexe et tout, ‘faut pas le dire aux filles, sinon on se fait exploser sa gueule, sauf si on crie «Blague» avant.

  • Elle en pète

    on dit ça d’une fille qui est folle de toi.

  • j’en pète

    c’est «j’en suis malade», «j’en suis fou».

  • Pète-couilles

    c’est un mec, y fait chier. «pète burnes», aussi.

  • Péter un cable

    partir en vrille, ou partir en live, bref, péter les plombs.

  • Péter les plombs

    je viens de le dire, suivez quoi, merde.

  • Péter un boulon

    boaaf, un boulon, un cable, c’est pareil.

  • Comme il s’la pète, lui

    équivalent de «ouahhh, vé comme y fait le mac, lui !» …..Hein ? Comment ça, c’est pas une explication ?

  • Prout

    désigne un truc qui marche pas, ou qui n’est pas au top de la version ou qui est nul. Exemples : «ouais mais il est prout, ton truc, là» pour parler de l’ordinateur de son pote, «non, c’était prout» pour répondre à la question «il était bien le film ?», ou plus court, «non, prout…» pour la question «t’as passé un bon week-end ?». Bon, dès fois je passe des très bons week-ends hein, ‘faut pas croire…

  • Prendre un râteau

    jolie définition par Guillaume Chardenneau : «c’est quand on veut quelque chose et qu’on l’a pas, style une personne du sexe opposé.»

  • Prendre un vent

    c’est comme un râteau, mais sans les dents.(humour, donc)

  • Prendre un vol

    se planter grave en tout ce qui va vite, style VTT, planche, roller, booster ou accordéon. En règle générale, ça fait plus peur aux spectateurs qu’à vous, mais des fois ça fait mal. Surtout en accordéon.

  • Prendre gras

    ça, je l’utilise partout. «il a pris gras ton ficus» devant un tas de feuilles jaunes. «misère, il a pris gras le taboulé» pour dire qu’on s’est bouffé les 2 kilos de taboulé en dix minutes ou alors qu’on a justement oublié le plat de taboulé dans le frigo avant de partir 2 mois en vacances. Après, on peut dire aussi «putain, j’ai pris gras, là…» après s’être mangé un bon force douze dans la gueule en 6.8 ou après un bon vol en VTT.

  • Prendre cher

    c’est exactement pareil que prendre gras, mais ça permet d’utiliser quasiment la même expression dans la même phase sans avoir l’air de se répéter…

  • Pas là, non

    à répondre à un type qui vous demande «tu m’aides pas, là ?»

  • Pas compris

    à balancer d’un air vague et en regardant ailleurs quand quelqu’un vient de lancer une blague foireuse, incompréhensible ou trop longue. En général, on peut mettre devant un «heuuuuu» ou pire encore, un «hmmm, humour, donc !». Et là, le gars, il rentre chez sa mère.

  • Pass’keu

    adaptation de «parce que». c’est plus rapide à taper, et il faut bien que la langue Française évoluasse un peu, bordel.

  • Pignouf

    big porc version péjoratif

  • Pétole

    c’est quand y’a nibe de vent. Pétole moins douze, c’est carrément zéro noeud, comme pour le défiWind 2003.

  • Pédale

    voir Lopette

  • Putain qué

    à placer devant un mot pour le mettre en valeur. Exemple, «y’a un putain qué vent, ça pète sa mère comme ça envoie le bois bien grave, strong P.». Ou «elle a des putain qué seins, total classe»

  • p’tain

    diminutif de «putain», c’est plus court à écrire.

  • Perforer l’anus

    un truc qui perfore, c’est qu’il t’étonne, ou qu’il envoie le bois. Alors un truc qui te perfore un anus de Mammouth, c’est la folie. Vous remarquerez que c’est la même signification de «trouer le cul», mais avec 100 fois plus d’impact sur la population. Essayez lors de votre prochain repas chez la belle famille, vous verrez.

  • Quelle belle saison !

    à dire quand arrive l’été et à chaque fois que passe une superbe gonzesse en jupe. En fait, c’est pour dire «putain mais qu’est-ce qu’elle est bonne» sans qu’elle s’en aperçoive. Dès fois elle s’en rend compte et là, ça peut envoyer le bois.

  • Que le cul te pèle

    très jolie manière de souhaiter une bonne journée à quelqu’un. Ne me demandez pas d’ou ça vient, là dessus je bloque un peu, because ça doit très certainement venir de «on se pèle le cul» (il fait froid), ce qui n’a rien à voir. Que celui qui possède l’explication me contacte…Le mirâcle du ouaibe : quelqu’un m’a contacté !!! et voici ses éclaircissements merveilleux, qui font que nous nous endormirons nettement moins cons qu’hier ce soir…»Que le cul te pêle» n’a strictement rien à voir avec «on se pêle le cul». y’a pas de problème de température. En fait, l’expression est incomplète. La véritable expression est «que le cul te pêle et que la pelle t’encule». Joli jeu de mot ! Comme on peut le lire dans les commentaires, c’est une manière de…souhaiter une bonne journée. Si vous l’utilisez dans une conversation avec un ami, vous pouvez employer l’expression dans son intégralité. Dans le cas ou votre interlocuteur est moins proche de vous, contentez vous de la première partie ! Bien sûr, le rapport entre passer une bonne journée et se faire enculer par une pelle est un peu…tiré par les cheveux…ou les poils du cul ! A part peut-être pour les homos ? [from Mathieu].Deuxième mirâcle du ouaibe : une autre définition !! et un poil plus crédible celle-ci : ton truc sur «que le cul te pêle» me laisse perplexe : c’est peut être très local. 100 % des gens que j’ai rencontré jusqu’à présent l’utilisent comme une malédiction dont la forme complète est : «que le cul te pêle et que tes bras raccourcissent», et mécaniquement, on comprend bien tout l’enjeu de cette malédiction… [from Onufle]

  • Rien à péter

    c’est en fait pour dire qu’on en a rien à braire.

  • Rien à braire

    c’est en fait pour dire qu’on en a un peu rien à péter (humour, donc…).

  • Strong P.

    version anglaise et raccourcie de «Gros Pig». En clair, c’est un dérivé de «Big Porc»

  • Situasse

    nouveau mot français pour dire «situation». Exemple: «bon Pig, ça brafougne à over donf, j’en pète comme ça envoie le bois, alors je vais aller plancher, tu captes la situasse, Strong P. ??»

  • Swingue ta bacaisse dans le fond d’la boite à bois

    c’est une expression Québecquoise (on s’en serait douté…) qui veut dire en gros «fait des câlins à ta copine dans la remise au fond du jardin». En d’autres termes, «nique ta sbab dans le garage à bob» ou «chope ta gonzesse dans le coin de la cabane». c’est marrant mais ça fait moins poétique, d’un coup… Ils sont forts ces Québécois pour faire passer les trucs gras.

  • Superbe

    mot tout simple, mais pas assez utilisé. Donc au lieu de dire un tout con «super», rajoutez donc un «be» à la fin, vous verrez, ça change la vie…

  • SBAB

    désigne une fille assez belle, pour ne pas dire top bonne. En fait, c’est l’abréviation de «super bonne à baiser», ce qui est un poil vulgaire pour un site de cette qualité intellectuelle, mais ça m’a fait rire alors je la met quand même.

  • Schmouter

    synonyme de puer, mais en plus fort. En général, si quelqu’un vous dit «Ouahhh, ça schmoute ici !», vous devez lui demander comment il écrit ce mot, histoire de voir s’il est vraiment cultivé (on s’amuse comme on peut…)

  • Sköll Ofen Frühh

    Aucune signification… A utiliser lorsque le silence se fait pesant, lorsque l’on ne sais pas quoi répondre, voir même lorsque l’on veut faire croire que l’on vient d’un pays Nordique… [from Téva] j’ajouterais que les véritables initiés rajoutent (juste après le silence qui suit, et d’un air solennel) : Dä Ünten schprünte Fürrh. Et là, ça pète grave sa mère. Voir aussi l’expression Das ist wunderbar, Tania

  • Ta mère en short sur le ouaibe

    ouais, les «ta mère» vous les connaissez toutes, je sais. Mais quand Chouchoute elle te sort «’tain, c’est ta mère en short, ça !», on comprend tout de suite qu’elle veut dire que ça envoie le bois.

  • Turtle Wet Loop

    figure emblématique du Turtle Wet Loop Team. c’est un forward avec réception sur une tortue. Hyper dur, surtout en Méditerranée.

  • Turtle Wet Loop Team

    Le meilleur du MONDE. Oui Monsieur.

  • t’as pas une autre question, là ?

    ça c’est une façon élégante de dire qu’on a pas envie de répondre à une question qui nous fait chier, du genre «dis chéri, est-ce que tu m’aimes ?» ou alors «comment ça va avec ta femme ?»

  • Tu m’aides pas, là ?

    question à poser à quelqu’un qui vous regarde bosser sans rien foutre. Si la personne est bien cultivée, elle vous répondra «non, pas là, non», et vous aurez eu votre minute de franche poilade hebdomadaire.

  • Trouer le cul

    c’est exactement pareil qu’une perforation d’anus, mais en moins douloureux. d’ailleurs, notez bien autour de vous, quand vous dites «ça me troue le cul», ils sont habitués à l’expression, alors que «ça me perfore l’anus» entraîne bien plus de réactions.

  • Tabernacle !

    interjection Québecquoise, langue aux accents chantants et aux expressions hallucinantes.

  • Total classe

    top expression pour dire qu’on a trop bien géré la situasse, genre posé un back-loop nickel, envoyé un bon saut bien gras en VTT ou encore évité de justesse en roller un car de flic dans la descente en sens interdit. La classe, quoi.

  • Top bonne

    une fille top bonne, c’est qu’elle est total classe, qu’elle envoie le bois à over-donf, bref, c’est ma copine.

  • Toi, t’as pas d’amis

    en gros, ça veut dire «va mourir», mais en plus cruel.

  • Thune less

    Expression de mon pote Bozal pour dire qu’il a plus de sous. Des mots Thunes (fric) et less, qui en Anglais veut dire «sans». «heuu, oui mais là, chuis thuneless, ça m’arrange pas de payer le resto»

  • Ursule

    celle qui rit quand on la stimule (heu…désolé)

  • Va chier conasse

    ça c’est pas beau, c’est vraiment quand on a épuisé le reste ou qu’elle fait vraiment chier.

  • Vrac

    être en vrac, c’est soit avoir la tronche dans le cul, soit être blindé comme un âne, soit être en 6.5 dans du 63 noeuds.

  • Vif

    «il est vif, lui», c’est pas sympa. Non, vraiment pas. c’est un peu comme «il est brave, peuchère». Dans ce cas, c’est surtout le peuchère qui tue. c’est un peu comme «il est gentil le chien». Bref, ça veut dire qu’il est trop con, ce type.

  • Vié

    «Eééééh mon vié !», c’est un peu comme «Eééh, mes couilles noires !», c’est quand on est en train de démonter un truc et que le boulon est bloqué, ou qu’on est en train de monter un meuble Ikéa et que ça nous gave le steak. Ou alors quand on parle à quelqu’un qui nous écoute pas, on interrompt la phrase par cette expression. Dernier exemple, quand on arrive pas à dire ce qu’on veut, comme Hervé Moine quand il parle Anglais : «and where do..why it is..no, when….éeeeh mon viééé !»

  • Waw

    faut demander à Edika pass’keu je sais pas vraiment ce qu’il a voulu dire par là. c’est comme «shlogo shlogo», je comprends pas bien.

  • woui, tout doux

    à dire en général en caressant assez maladroitement la tête de la personne concernée. c’est pour dire «mais oui, il est gentil le chien», donc c’est pour les gens qui ont pété un plomb et qui disent n’importe quoi, ou encore les types qui partent dans des théories fumeuses du style «et si on allait à Marrakech en vélo pour le réveillon 2000 ?»

  • Xylophone

    c’est l’instrument dont à été INTERDIT mon pote Strong P. en sixième. Depuis, c’est devenu une expression. Quand t’es interdit de xylophone, c’est que t’es vraiment un gros naze en musique.

  • Yakafaukon

    raccourcit de «il n’y a qu’à, il faut qu’on», pour dire démerdez vous, moi je fais la sieste.

  • y’a pas photo

    il n’y a pas matière à discuter. Exemple, mon Nikon est 100 fois mieux que ton Canon pourrave, Pig, y’a pas photo.

  • y’a pas d’mal

    à répondre à quelqu’un qui vous dit «oh pardon». En général, soit ça le gène encore plus, soit ça le fait rire, ça dépend si c’est le type qui à ouvert la porte de vos chiottes ou si c’est le gars qui vous a crépi la chemise avec ses lasagnes.

  • y’a pas moy

    à prononcer «y’a pô mouaille» pass’keu ça vient de St Etienne. c’est pour dire que ça nous arrange pas. A Toulouse, ils disent «Aaaah, oui mais là, j’ crois que ça va pas être possible….»

  • y’a pas l’feu au lac

    Attention, un peu de culture : il y a fort longtemps, quand on n’avait pas encore l’électricité, nos zamis les Suisses allumaient des feux sur les rives du Lac Léman pour signaler aux navigateurs l’arrivée imminente d’un orage, qui dans cette région, envoient le bois grave sa mère en short (donc, sont très violents). c’est pourquoi les marins Suisses scrutaient l’horizon, et, constatant l’absence de feu, exprimaient avec satisfaction que ce n’était pas la peine de se presser….d’ou l’expression. On imagine donc aisément le bon vieux marin suisse qui a embarqué sur son bateau Pamela Anderson qui est en train de lui faire la pipe du siècle. Et là, son portable sonne et c’est sa femme qui lui demande quand il va rentrer. Le marin Suisse penche négligemment la tête sur le côté pour scruter l’horizon, et lui répond «y’a pas l’feu au lac, poussin». Et là il peut racrocher et dire à son collègue (qui est en train de sodomiser délicatement Pamela) «well, I think it’s something like cool, Beavis»

  • Zob

    c’est la bite (pardon Maman..)

  • Zebda

    super groupe (et allez donc trouvez des expressions qui commencent par Z, vous…)

  • Zou

    alors un «plan zou», c’est un truc décidé au dernier moment et assez délire, du style aller passer un week-end end en Espagne quand on fait sa coopé à Bruxelles, ou aller à Marrakech en vélo pour le réveillon de l’an 2000. En général, ça laisse les meilleurs souvenirs du monde.

  • Faire pipi

    Pisser : oui, merci papy, c’est gentil de nous le rappeler..

    Noyer Delafon : tiens, je viens de l’inventer, celle-là… Spécial dédicace à Gropolomich.

    Faire pleurer le monstre : classique quoi, pisser [from : jc dus]

    Changer l’eau des poissons : Le petit besoin; pour les ceusses qui confondent aquarium et cagoinsses (c’est du propre, si j’ose dire!) [from Alias (tontonalias@mac.com)]

  • Balle (C’est de la) 

    Exprime l’enthousiasme, quelque chose de bien, de beau, de positif.  » Cette meuf, c’est de la balle.  » (Je ne suis pas insensible aux charmes de cette demoiselle.)
     » Ben Laden, c’est de la balle.  » (Le mercantile Oncle Sam ne pouvait pas indéfiniment exploiter sans retour les richesses de l’orient sans déclencher le juste courroux de l’homme des montagnes.)

  • À fortiori

    À l'origine, ça vient du stage de 4eme d'un pote dans une caserne.
    
    Ça se prononce avec un accent marseillo-belge (très technique) du genre A FOrtioRRi. Ça se place partout, et surtout là où ça ne sert a rien, suivi d'un heu...

    Ça se prononce avec un accent marseillo-belge (très technique) du genre A FOrtioRRi. Ça se place partout, et surtout là où ça ne sert a rien, suivi d’un heu…

    Exemple :

    – t’a du feu ?

    – à fortiori, heuuuu, je dirai que oui (prononcer le reste de la phrase avec le même accent).

    Envoyé par Igor

  • À donf

    Verlan de « à fond ». En fait, ça veut dire qu’on est carrément à la toque, quoi. Ça peut aussi s’écrire « adonfe », d’après ma mère, qui est quand même prof de Français, et donc je lui dois le respect. Voir aussi « à la toque », « au taquet », « le pied dans le phare », etc…