Auteur/autrice : elmanu

  • Putain qué

    à placer devant un mot pour le mettre en valeur. Exemple, «y’a un putain qué vent, ça pète sa mère comme ça envoie le bois bien grave, strong P.». Ou «elle a des putain qué seins, total classe»

  • Pédale

    voir Lopette

  • Pétole

    c’est quand y’a nibe de vent. Pétole moins douze, c’est carrément zéro noeud, comme pour le défiWind 2003.

  • Pignouf

    big porc version péjoratif

  • Pass’keu

    adaptation de «parce que». c’est plus rapide à taper, et il faut bien que la langue Française évoluasse un peu, bordel.

  • Pas compris

    à balancer d’un air vague et en regardant ailleurs quand quelqu’un vient de lancer une blague foireuse, incompréhensible ou trop longue. En général, on peut mettre devant un «heuuuuu» ou pire encore, un «hmmm, humour, donc !». Et là, le gars, il rentre chez sa mère.

  • Pas là, non

    à répondre à un type qui vous demande «tu m’aides pas, là ?»

  • Prendre cher

    c’est exactement pareil que prendre gras, mais ça permet d’utiliser quasiment la même expression dans la même phase sans avoir l’air de se répéter…

  • Prendre gras

    ça, je l’utilise partout. «il a pris gras ton ficus» devant un tas de feuilles jaunes. «misère, il a pris gras le taboulé» pour dire qu’on s’est bouffé les 2 kilos de taboulé en dix minutes ou alors qu’on a justement oublié le plat de taboulé dans le frigo avant de partir 2 mois en…

  • Prendre un vol

    se planter grave en tout ce qui va vite, style VTT, planche, roller, booster ou accordéon. En règle générale, ça fait plus peur aux spectateurs qu’à vous, mais des fois ça fait mal. Surtout en accordéon.