doser un mec, c’est lui mettre une grosse rouste. Par exemple en planche, je dose tout le monde avec ma 6.5 et mon gun de slalom. Ca veut dire que je suis le plus rapide, en fait. Alors les mecs y disent «Comme y m’a dosé, lui !»

état moléculaire assez piteux, après une bonne murge, un superbe cône ou une énorme session de planche de 8 heures. «p’tain, chuis défracté complet, man»

orthographe modifiée du mot «déçu» pour qu’il soit prononcé comme il se doit. «p’tain chuis daisssu !» Peut s’utiliser dans les mêmes circonstances que «gâché».

«putain ça daube ici», c’est quand ça pue. Voir aussi «ça shmoute», «ça sent le fennec» ou le poney, au choix. on peut rajouter «grave» à la fin, pour quand c’est moi qui lâche une bonne caisse.

«personne» en Marseillais. Nous à Marseille, on craint dégun.

cri débile poussé après une blague douteuse ou un jeu de mot limite. En général suivi de «t’as compris ?»

en général suivi de «on peut en parler, donc». c’est une phrase pompée au Doc de chez une radio de jeune qui sévissait dans une émission ou les jeunes parlaient de leur problèmes sexuels. Et le Doc, imperturbable, pouvait sortir des phrases du style «oui, donc tu as des pustules sur la verge et ton…

ça vient de la vieille pub Décathlon pour ses sacs à dos. Quand un truc est crocodile proof, c’est que c’est du costaud.

c’est juste un moyen de dire qu’on est pas trop d’accord avec quelque chose. Exemple : vous avez votre petite nièce ou votre petit neveu sur les genoux : «Aaaaah, oui mais là si tu me chies dessus, ça va pas m’arranger». Autre exemple, votre patron vous demande de venir bosser Samedi : «ben oui…

expression du Québec pour dire tout et n’importe quoi. En Français, ça s’appelle une interjection, je crois. «Caribou, c’qu’il parle bien le Manu !»